Raconter d'autres histoires : entre traditions et féminismes
Le temps d'une heure, ouvrir des espaces pour déployer les imaginaires.
Ça commence par un rituel de réappropriation d'un conte à travers une performance de distorsion. Lentement creuser le passage de l'écrit à l'improvisation orale et vocale, Pour décrasser nos imaginaires. Et ensuite raconter d'autres histoires, en utilisant le répertoire traditionnel. Redonner de la place aux femmes. pour que leurs voix reprennent l'espace sonore : voix parlée, chantée, psalmodiée, silencieuse, monstrueuse, poétique, magique. parce que la prise de parole est une prise de risque.
Aussi, parce que le conte est vivant, et sans réponse.